Jésus coupé de l’image

Ça ne marche pas pour moi

ils peuvent être choqués de redécouvrir le combat spirituel qui était présent depuis le début, et se sentir mal préparés à y faire face.

Le temps de paix dans l’armée En l’absence d’un ennemi commun, les soldats en temps de paix se battent pour des questions triviales et s’en veulent souvent les uns les autres. Focalisés sur eux-mêmes, les plaintes sur les conditions de logement, la nourriture et la structure de commandement abondent. L’ennui est étouffant et l’envie d’émotions fortes se fait sentir. Sans possibilité d’innovation, la créativité s’étiole. Plus les soldats vivent longtemps en temps de paix, plus ils développent des ancrages profonds, ce qui rend difficile leur déploiement vers d’autres missions. Dans l’église, les chrétiens en temps de paix se disputent pour des questions futiles. Ils se plaignent du pasteur, de la prédication, des programmes, voire même du confort des chaises. Si un réveil éclatait en Libye et que les anciens demandaient des volontaires pour aller renforcer l’église là-bas, la plupart des gens auraient des racines si profondes qu’ils ne pourraient pas imaginer abandonner leur style de vie et laisser leur maison, même pour une courte période. Le temps de la guerre Les soldats qui travaillent en temps de guerre n’ont pas le temps de se battre pour des futilités. Ils trouvent leur identité dans le groupe qu’ils représentent et respectent la chaîne de commandement. Ils travaillent ardemment pour développer leurs compétences afin de pouvoir contribuer à leur unité, et non pour un accomplissement personnel. En raison de leur environnement dangereux en temps de guerre, ils apportent des innovations avec une créativité spectaculaire. Ils sont vigilants, à l’affût des surprises de l’ennemi, ne supposant

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