Le Témoignage de l’Ancien Testament à propos de Christ et de son Royaume: Capstone Module 9 Mentor Guide

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L E T É M O I G N A G E D E L ’ A N C I E N T E S T A M E N T À P R O P O S D E C H R I S T E T D E S O N R O Y A U M E

promesses », en définissant sept domaines dans lesquels ils s’engagent envers le Seigneur et entre eux à rester fidèles à Lui et au Royaume. L’idée de promesse est un concept important dans notre société, qu’il s’agisse de la notion de fiançailles, « Je suis promis à Sherri », ou des billets à ordre liés aux affaires et au droit. En réalité, l’idée de la promesse est une notion significative et importante dans toutes nos relations modernes : des promesses sont faites entre les nations, les dirigeants du monde, les armées, les partenaires commerciaux, les membres des familles et les entrepreneurs. Sans le concept de faire des promesses et de les tenir, toute notre structure sociétale serait paralysée. L’undesmoyens les plus simples et les plus directs de comprendre l’histoire biblique est le thème de la promesse et de l’accomplissement. Dans un sens, l’ensemble de la Bible peut être considéré comme un mouvement du Dieu souverain, le Dieu d’Israël, Yahvé, le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui fait une promesse au premier couple humain rebelle et au Serpent qui a trompé Eve. Dans ce texte, Dieu fait une promesse, une promesse qui concernera le Serpent et la postérité de la femme. Dans les cercles théologiques, cette promesse est appelée « protoevangelium », c’est-à-dire la toute première mention ou la première annonce du message évangélique du salut de l’humanité dans la Bible. Ici, Dieu expose l’ensemble du plan de salut dans un court passage qui résume l’une des idées les plus importantes des Écritures. Le cadre de cet épisode lié au texte est ce moment tragique où le premier couple humain, Adam et Ève, est pris dans son aveu honteux de manger le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal à l’encontre du commandement direct du Seigneur. Le Serpent, qui a trompé Ève et l’a poussée à désobéir, Ève et Adam sont tous devant le Seigneur qui prononce son jugement sur eux. En parlant au Serpent, Dieu fait une déclaration sur l’avenir qui fait littéralement de ce texte le début de la fin de toute la révélation écrite des Écritures. Dieu déclare ici sans équivoque que son dessein souverain à l’égard du Serpent sera une hostilité perpétuelle et sans fin entre le Serpent et la postérité de la femme, entre sa descendance et celle de la femme. Le talon de cette « postérité » sera meurtri par le serpent, mais la postérité de la femme écrasera la tête du serpent. Cette représentation graphique du Serpent et de la postérité est au cœur de la vision salvatrice de la Bible. Dieu dit qu’à la suite de la rébellion volontaire de l’homme, il a établi dans l’univers des relations qui seront perpétuellement en place, une hostilité et une inimitié ininterrompues entre le Serpent et la semence de la femme, entre sa descendance et celle de la femme. Dès les premières lectures de ce texte, les chercheurs juifs y ont vu la première mention de la promesse divine du Messie, cette postérité, cette personne qui

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