Une Vision Biblique, Partie I

Annexes

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Annexe 42 Citations sur la typologie Propos recueillis de James DeYoung et Sarah Hurty, Beyond the Obvious . Gresham, OR: Vision House Publishing, 1995, p. 24.

Etudions-nous actuellement la Bible de la même manière et avec les mêmes méthodes que le Seigneur et les apôtres?

Après plus de vingt ans d’enseignement de l’herméneutique grammatico-historique, je ne vois qu’un seul problème: il ne semble pas que les auteurs bibliques aient toujours procédé de la même manière! Lorsque nous examinons la manière dont les auteurs bibliques ont utilisé les Écritures précédemment écrites, nous constatons qu’ils semblaient y « découvrir » un sens qui, à en juger par le contexte original, ne peut guère être imaginé comme ayant été dans l’esprit de l’auteur original. Ce problème est particulièrement évident dans la manière dont les auteurs du Nouveau Testament ont utilisé des passages de l’Ancien Testament pour prouver que Jésus-Christ a accompli les prophéties [souligné par moi] (ou pour faire valoir un certain point de vue théologique).

~ p. 24

Pouvons-nous ou devons-nous reproduire l’exégèse du Nouveau Testament?

À la question de savoir si nous pouvons reproduire l’exégèse du Nouveau Testament, [S. L. Johnson répond: La réponse est oui, sans hésitation, bien que nous ne soyons pas autorisés à revendiquer pour nos résultats l’infaillibilité du Seigneur et de ses apôtres. Ils sont des enseignants fiables de la doctrine biblique et des enseignants fiables de l’herméneutique et de l’exégèse. Non seulement nous pouvons reproduire leur méthodologie exégétique, mais nous devons le faire si nous voulons apprendre leur façon d’interpréter les Écritures.

~ p. 265

Qu’en est-il de la typologie en tant que méthode valable et importante d’interprétation de la Bible?

La typologie est une approche authentique largement pratiquée dans le Nouveau Testament. Par exemple, le mobilier du tabernacle et d’autres éléments associés à celui-ci et au temple (l’autel et les sacrifices, le voile, le couvercle d’or de l’arche de l’alliance) sont tous des types du Christ et du royaume céleste ( voir Hébreux 9). Lorsque nous abordons la typologie, nous devons éviter d’être trop larges ou trop étroits dans notre interprétation. Nous pouvons être trop larges si nous trouvons de la typologie partout. Nous pouvons être trop étroits si nous rejetons la typologie comme méthode exégétique sur la base de l’affirmation qu’elle n’est pas cohérente avec un sens littéral qui englobe un autre sens, trouvé au moyen d’une étude grammatico-historique. . .

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