La quête du Pèlerin

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(Épiphanie, Baptême et Transfiguration). Elle se concentre ensuite sur la gloire de son incarnation dans l’humilité et le service, comme en témoignent ses miracles, ses exorcismes et son enseignement, et décrit le voyage de Jésus alors qu’il se dirige vers Jérusalem et la Croix (mercredi des Cendres et Carême). L’histoire relate solennellement sa dernière semaine, avec son entrée glorieuse à Jérusalem en tant que roi, son opposition et son simulacre de procès, sa souffrance et sa crucifixion, et sa mort au Calvaire (Semaine sainte). qu’il est ressuscité le troisième jour et qu’il est apparu à ses disciples pendant quarante jours (Pâques). Après avoir prouvé aux siens qu’il était vivant, il est monté avec puissance et gloire à la droite du Père, où il est adoré par les anges et couronné en tant que Seigneur et Christ, Chef de l’Église et Seigneur de la moisson (Jour de l’Ascension). Cette exaltation majestueuse est conforme à la volonté du Père, au ministère fidèle du Fils et à la puissance du Saint-Esprit, qui vient cinquante jours après la résurrection de notre Seigneur (Pentecôte et Dimanche de la Trinité). Pendant la saison qui suit la Pentecôte, nous exaltons Jésus-Christ en tant que Chef de l’Église, alors que nous allons faire des disciples de toutes les nations, que nous récoltons sa moisson et que nous attendons son retour avec impatience. À la fin de l’Année Ecclésiastique, nous nous rappelons la fidélité du Christ à son Église, à cette communion entière de saints qui ont saigné, souffert et sont morts tout au long de l’histoire de son Église à cause de son nom (la Toussaint). Au cours de la dernière semaine, nous l’exaltons enfin pour notre espérance bénie, la promesse de son retour prochain où Christ vaincra le mal une fois pour toutes et régnera comme maître et Roi sur tous (Règne du Christ-Roi). Avec une joie et une allégresse inhabituelles, elle nous invite à affirmer de tout notre cœur que le Nazaréen n’est plus mort, mais Ainsi, la saison de l’Avent termine le cycle et le recommence. Elle attend avec impatience la seconde venue de Christ, qui conclura l’Année Ecclésiastique, mais il nous prépare aussi à nous souvenir de sa première venue et à recommencer l’Année Ecclésiastique. Et ainsi le cycle continue régulièrement au rythme ininterrompu du Cœur de Dieu. Cette étonnante représentation saisonnière de la vie et de l’espérance de Jésus peut donner à vos études et à vos ministères une orientation centrée sur Christ, en vous aidant à garder au premier plan le cœur de la question: Le christianisme, c’est Christ, et si nous l’ignorons, lui et ce grand récit de vérité et d’espérance, nous finirons par danser en décalage avec le rythme récurrent de Dieu. L’Année Ecclésiastique suit le rythme de cette