Pratiquer la justice et Aimer la Miséricorde : Ministères de la Compassion, Capstone Module 9 French Mentor Guide

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P R A T I Q U E R L A J U S T I C E E T A I M E R L A M I S É R I C O R D E : M I N I S T È R E S D E L A C O M P A S S I O N

antagoniste, comme transformatrice, comme complètement séparée, et ainsi de suite. Prêtez une attention particulière aux différents types d’approches que les théologiens et les hommes et femmes d’Église ont considérées comme la relation entre le monde et l’Église.

En explorant les différentes perceptions de l’Église et du monde examinées dans le premier segement de la vidéo, cherchez à aider vos étudiants à considérer cette relation à la fois sur le plan théologique et sur le plan missionnaire , c’est-à-dire à la lumière des doctrines de la Parole de Dieu et de notre responsabilité d’engager la Parole en proclamant la Bonne Nouvelle du Royaume, ainsi qu’en démontrant les bonnes œuvres que sont l’amour, la miséricorde et la justice. Concentrez vous sur l’aide que vous pouvez apporter à vos étudiants pour qu’ils puissent faire face aux difficultés que ces questions ont posées aux croyants de conscience pendant des siècles, et suggérez-leur des moyens de commencer à former leurs propres jugements théologiques sur ces questions théologiques et ministérielles importantes. La difficulté qu’a eue l’Église à comprendre sa relation précise avec le monde a été solidement décrite dans le commentaire d’O. R. Barclay dans un article sur la signification biblique du monde : Le mot « monde » (kosmos) est utilisé dans le sens de l’humanité dans peu de passages bibliques. Dans Jean 3:16, par exemple, on nous parle de l’amour de Dieu pour « le monde » dans ce sens. Lorsque c’est le cas, le devoir chrétien d’aimer l’humanité est clair. C’est dans l’autre sens, plus habituel, qu’il y a des problèmes. Dans ce sens plus large, « le monde » signifie généralement « l’environnement de l’humanité ». En d’autres termes, il comprend non seulement l’environnement naturel et toutes ses ressources variées, mais aussi l’environnement culturel et social créé par l’humanité pécheresse. En ce sens, le diable est décrit comme le « prince » ou « dominateur de ce monde » qui a été condamné et chassé par la puissance et l’œuvre de Christ (Jn 12:31 ; 16:11 ; Eph. 6:12). « Le monde entier est sous la puissance du malin » (1 Jn 5:19). Si l’on ajoute ces passages concernant la domination du diable sur le monde à des versets tels que 1 Jean 2:15-17, où nous sommes avertis de n’aimer ni « le monde ni

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