Racines sacrées

R a c i n e s s a c r é e s

Cet aperçu du calendrier de l’Année ecclésiastique révèle à quel point celle-ci est objectivement centrée sur Christ. En tant que moyen d’apprendre le chemin du Christ et de s’y engager par la foi et les œuvres, l’Année ecclésiastique s’est avérée être une approche merveilleuse pour se concentrer sur la personne et l’œuvre du Christ chaque jour, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, individuellement et en tant que corps. Aperçu des saisons de l’année ecclésiastique Ayant maintenant parcouru d’un coup d’œil l’ensemble du calendrier à deux cycles, il serait encore plus utile de résumer brièvement chaque saison, en soulignant les façons dont la personne de Jésus est révéléeet l’implication de cette révélation pour notre théologie, notre culte, notre formation des disciples et notre propagation. La saison de l’avent : L’avènement du Christ La saison de l’Avent est une saison d’anticipation et de repentance qui se concentre sur la première et la seconde venue du Christ. Cette double focalisation signifie que l’Avent commence et termine l’année chrétienne (Ésaïe 9 :1-7, 11:1-16; Marc 1:1-8). L’Avent est une anticipation de la première et de la deuxième venue de notre Seigneur. Les prophètes de Dieu ont prédit sa venue, et les anges ont an noncé sa naissance à Marie et aux bergers. Nous affirmons que la promesse de Dieu s’est accomplie lors de l’arrivée du Messie à Bethléem. Cette saison comprend quatre semaines avant la célébration de Noël, chaque semaine étant marquée par un accent particulier symbolisé par le souvenir de la couronne de l’Avent. • Première semaine – l’anticipation : La couronne de l’Avent nous rappelle l’amour éternel de Dieu, sans commencement ni fin. Les bougies nous rappellent la lumière du Christ qui vient dans le monde. Nous allumons la première bougie en attendant la venue du Messie, Emmanuel, Dieu avec-nous. • Deuxième semaine – l’annonciation : Nous allumons la deuxième bougie pour annoncer la naissance du Roi Sauveur, comme l’ange Gabriel l’a an noncé à Marie, et comme les anges l’ont annoncé aux bergers.

112