Atelier sur les Racines Sacrées : Récupération de la Grande Tradition dans l ’Eglise Contemporaine

144 Atelier sur les Racines Sacrées : Récupération de la Grande Tradition dans l’Eglise Contemporaine

nouveauté, et à la poursuite d’une nouvelle mode branchée après l’autre.

b. Des rituels vides et non bibliques peuvent être produits tout aussi facilement à partir de chants de louange que de vieux hymnes.

c. Le fait de ne pas considérer l’Écriture comme une histoire peut produire une orientation égocentrique de l’utilisation de l’Écriture et une incapacité à voir la valeur de l’Écriture ancienne, de la foi, du Credo et de la spiritualité.

Il n’y a rien de nouveau qui compte et rien de ce qui compte ne peut être modernisé. Une façon d’évaluer toute chose dans le monde qui nous entoure est de vérifier si elle peut être modernisée. S’il est possible de le moderniser, vous pouvez sans crainte le placer très bas dans l’échelle des valeurs humaines. Seul ce qui est inchangeable et immuable devrait être considéré comme digne d’une considération durable par des êtres créés à l’image de Dieu.

~ A. W. Tozer. Born after Midnight . Harrisburg, Penn: Christian Publications, Inc. 1959. pp. 88-92.

4. « L’année ecclésiastique permet de se souvenir de tout et de le célébrer, pas seulement des choses amusantes ou faciles. Bien sûr, nous avons plusieurs semaines de Pâques et 12 jours de Noël, mais nous avons aussi 4 dimanches de l’Avent, 40 jours de Carême et une semaine de Semaine Sainte. Combien d’églises qui ne suivent pas l’année ecclésiastique peuvent honnêtement dire qu’elles se sont concentrées sur la vie du Christ à un degré aussi extraordinaire ? » (Jonathan Bennett, The Church Year: Experience the Bible in a Year . Churchyear.net).

B. Elle est christo-centrique : l’Année ecclésiastique se concentre sur la vie et le ministère de Jésus de Nazareth.