Jésus coupé de l’image

La méthode traditionnelle

le gouvernement et l’armée. De nombreux traditionalistes souhaitent revenir à cette époque, qui a vu l’acceptation des normes traditionnelles dans la société, avant le déclin de la moralité au cours des années 1960. L’Église primitive Une autre époque nostalgique possible pour les traditionalistes est celle de l’Église primitive, telle que décrite dans le Nouveau Testament. Par une mauvaise application de la « sola scriptura » et par leur méfiance à l’égard de l’Église catholique romaine, certains traditionalistes rejettent en bloc les leçons de l’histoire de l’Église. Pour eux, l’Écriture est la seule source d’ecclésiologie, considérant les pratiques du Nouveau Testament comme normatives pour les contextes ecclésiaux contemporains. Les jours de Gloire Certains traditionalistes se souviennent d’une période spécifique où leur église locale était à son apogée. Par exemple, une église peut se souvenir des années 1970 (ou 1980) où les programmes étaient vitaux, l’assistance était élevée et l’avenir semblait brillant. Après cette période, l’église a peut-être conservé sa vitalité, mais jamais autant que « les jours de gloire ». Pour ce type de tradition, cette époque « d’étalon-or » est utilisée pour mesurer toutes les activités actuelles de l’église. Le Réveil des Frontières La dernière ère sentimentale est le Réveil des Frontières , un phénomène américain des Grands Réveils de 1730-1840, où des évangélistes itinérants prêchaient des sermons convaincants à de grandes foules dans les villes frontalières, les invitant à se tourner vers Christ pour le salut. Pour certains traditionalistes, notamment ceux

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